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C’ÉTAIT EN DIRECT • 49-3 : Elisabeth Borne face à la motion de censure

C’ÉTAIT EN DIRECT • 49-3 : Elisabeth Borne face à la motion de censure

C’ÉTAIT EN DIRECT • 49-3 : Elisabeth Borne face à la motion de censure

Jeudi, la première ministre Elisabeth Borne a fait usage de l’article 49-3 de la constitution pour faire adopter la réforme des retraites sans vote à l’Assemblée Nationale.

Le gouvernement va-t-il tomber ? La France va-t-elle plonger dans une crise politique ? Quelle réactions des oppositions et de l’intersyndicale ?

Cette journée est également à suivre dans notre édition spéciale en direct sur notre compte Twitter.

Article réalisé en direct le lundi de 12:00 à 21:00


21:00

C’est la fin de cet article live. Merci de nous avoir suivi.


20:52

Au moins 101 interpellations ont eu lieu en marge des manifestations spontanées à Paris. Plus de 2000 policiers sont déployés sur place.

20:45 • ALERTE INFO

Le président échangera demain matin à 9 heures à l’Élysée avec sa Première ministre et les chefs de la majorité pour tenter de trouver une sortie de crise politique.

Il déjeunera ensuite à 13h avec les présidents des deux chambres, Yaël Braun-Pivet pour l’Assemblée Nationale, et Gérard Larcher pour le Sénat.

Enfin, il recevra mardi soir à 19h30 les parlementaires de de la majorité à l’Elysée.


20:30

Un rassemblement est en cours dans le 7e arrondissement de Paris, place Vauban, à proximité de l’Assemblée nationale, où la motion de censure transpartisane, déposée par le groupe LIOT, vient d’être rejetée.


20:20

La motion de censure du RN a été largement rejetée avec seulement 94 voix. La réforme des retraites est donc adoptée à l’Assemblée nationale. Elle va désormais devoir passer sous les fourches caudines du Conseil constitutionnel dès demain.


20:09

Après le rejet à 9 voix près de la motion de censure tranpartisane, Marine Le Pen appelle Emmanuel Macron « à présenter un autre gouvernement aux Français. « La crise ne sera pas réglée s’il ne le fait pas », a encore avancé la présidente RN.


19:58

Après le rejet de la motion de censure transpartisane, Jean-Luc Mélenchon appelle à « la censure populaire » en « tout lieu et en toute circonstance ». Le patron de La France insoumise ne veut pas attendre une éventuelle censure du Conseil constitutionnel « qui prendrait un mois » ou du référendum d’initiative partagée « qui pourrait aboutir en mai ».


19:45

Après le rejet à seulement 9 voix près de la motion de censure, François Ruffin en appelle « à l’apaisement ». « Qui peut faire l’apaisement ? C’est Emmanuel Macron en retirant sa réforme », a lancé le député LFI.


18:45 • ALERTE INFO

La motion de censure portée par le groupe LIOT a recueilli 278 voix de députés « POUR ». À 9 voix près, la majorité de 287 voix n’est pas atteinte, et la motion de censure n’est pas adoptée.


18:20

Place au vote sur la motion de censure Liot désormais. Le scrutin a été ouvert il y a un instant, et se tient pendant trente minutes, soit jusqu’à 18h45.


18:17

« Nous ne sommes jamais allés aussi loin dans la construction d’un compromis avec cette réforme », affirme Elisabeth Borne. « Honte ! », crie-t-on sur les bancs de l’opposition.


18:13

« De nouveaux textes seront débattus au gouvernement dans les semaines qui viennent, il n’est jamais trop tard pour sortir des postures », assure Elisabeth Borne. Elle dénonce la motion de censure portée par le groupe Liot, « une alliance baroque », et s’attaque notamment à Charles de Courson, ce qui provoque des huées dans l’hémicycle.


18:09

Elisabeth Borne rend longuement hommage aux députés de la majorité « qui ont pensé à l’intérêt général plutôt qu’à leurs destins personnels ». Elle vante aussi les concertations qui ont permis de trouver « un texte de compromis », sur lequel elle engage sa responsabilité, et non sur le texte initial du gouvernement.


18:06 • ALERTE INFO

Marlène Schiappa, Olivia Grégoire, et Clément Beaune, tous les trois membres du gouvernement, ont quittés l’hémicycle au moment de la prise de parole de la première ministre Élisabeth Borne.


18:05

La première ministre Élisabeth Borne fustige le comportement des députés de la NUPES lors des débats sur la réforme des retraites début février : « Des chants, des hurlements, des invectives, des pupitres qui claquent : voilà le spectacle auquel se sont livrés jeudi dernier certains députés. Ce n’était pas un fait isolé mais le paroxysme de semaines entières où l’on a vu l’antiparlementarisme sous toutes ses facettes. »

Interventions après interventions, j’ai constaté qu’il n’y a décidément pas de limites à la duplicité. Ce sont les mêmes qui ont tout fait pour limiter le débat qui viennent nous reprocher d’avoir limité le débat.

Élisabeth Borne, première ministre

18:04 • ALERTE INFO

Dès que la Première ministre a pris la parole à l’Assemblée nationale, les députés LFI se sont levés et ont quitté l’hémicycle.


18:03

« La haine et la brutalité ne devraient pas avoir leur place dans le débat parlementaire », assure la Première ministre, alors que des huées se font entendre sur les bancs.


18:00 • EN DIRECT

La première ministre Élisabeth Borne s’exprime à la tribune de l’Assemblée Nationale, pour répondre aux différents groupes qui ont pris la parole.


17:57

Le député Adrien Quatennens, qui fait parti des non-inscrit, est le dernier à s’exprimer. « C’est le 11e 49.3, soit un 49.3 tous les 28 jours en moyenne depuis le début de votre quinquennat. C’est en fait une crise de régime« , dit-il notamment à la première ministre Elisabeth Borne.


17:48

Le député communiste Pierre Dharréville est à son tour à la tribune. « Votre réforme est définitivement illégitime et vous vous trompez lourdement si vous pensez que vous pouvez en tirer comme ça, que ce sera très vite oublié. Vous avez perdu« , s’exprime t’il.


17:39

L’écologiste Cyrielle Chatelain est maintenant à la tribune. « La course effrénée du profit, la réduction à notre seule valeur marchande, c’est la France ubérisée d’Emmanuel Macron. Une France où se creusent les inégalités », dit-elle face à l’Assemblée Nationale.

Notre système de retraites n’est pas en danger, ni aujourd’hui, ni demain. Vous voulez faire 18 milliards d’économie (…) Ce que vous présentez n’est pas une réforme, c’est une aberration.

Cyrielle Chatelain, groupe écologiste

« Le président de la République n’a pas perdu le contact avec les Français de première ligne, il ne les a jamais croisés », affirme-t-elle encore.


17:30

Laurent Marcangeli, président du groupe Horizons à l’Assemblée Nationale, est à son tour invité à s’exprimer : « Personne, je dis bien personne, ne se réjouit au recours de l’article 49.3 parmi les parlementaires présents », déclare-t-il.

Dire que cela constitue à un déni de démocratie, après 175 heures de débat et presque autant d’obstruction, nous ne pouvons pas l’entendre.

Laurent Marcangeli, président du groupe Horizons à l’Assemblée Nationale

17:24

« Quoi qu’il en coûte à la démocratie, le président de la République a imposé cette réforme au cœur d’une crise sociale longue de cinq ans », déclare Boris Vallaud, qui s’exprime au nom du groupe du Parti Socialiste (PS).

Après la crise des gilets jaunes, qui dénonçait l’asphyxie de l’injustice fiscale, après la crise de la Covid, la puissance du mythe libéral, la guerre en Ukraine, les revers d’une mondialisation anxieuse, vous accablez en pleine crise de la vie chère le sort des Français.

Boris Vallaud, député du Parti Socialiste (PS), envers le gouvernement

17:21

Au tour du parti socialiste (PS), représenté par Boris Vallaud, de s’exprimer. « Vous ne vous êtes accordés avec personne, vous n’avez convaincu personne. C’est une corruption profonde du pacte démocratique ».


17:18

« Le groupe démocrate prend acte de l’esprit de responsabilité qui anime le gouvernement. Vous l’aurez compris, nous ne voterons pas cette motion de censure », déclare Jean-Paul Mattei, président du groupe MoDem.


17:14

Jean-Paul Mattei, président du groupe MoDem, prend maintenant la parole. Il salue le travail « sérieux et juste » effectué. « Ce travail en commun illustre bien ce qu’est le centrisme, loin de l’intransigeance de certains. »


17:06

« Le président de la République n’a-t-il rien retenu de la crise des gilets jaunes ? Sans respect des Français, des corps intermédiaires, des partenaires sociaux, rien n’est possible », déclare Olivier Marleix, président du groupe LR à l’Assemblée Nationale.

Pour contester, il suffit d’être virulent. Pour reconstruire, il faut être responsable courageux et cohérent.

Olivier Marleix, président du groupe Les Républicains (LR) à l’Assemblée Nationale

« Vous êtes tous en train de tirer le pays vers le fond, sans proposer de le redresser », déclare-t-il encore face au camp présidentiel.


17:00 • ALERTE INFO

Le président du groupe « Les Républicains » à l’Assemblée Nationale Olivier Marleix affirme que son parti ne votera pas les motions de censure.


16:59

C’est au tour du président du parti Les Républicains (LR) Olivier Marleix de prendre la parole à l’Assemblée Nationale.



16:57

« Depuis des semaines, des millions de personnes défilent dans leur pays, pas pour leur plaisir, mais pour leur dignité. Ils prennent leur existence et celle des autres au sérieux ». La présidente Panot continue de s’exprimer à la tribune de l’Assemblée Nationale.


16:55

« Jamais un président n’a voulu gouverner avec autant d’aplomb, par la colère et le dégoût », déclare Mathilde Panot (LFI), alors que deux français sur trois veulent que cette motion de censure aboutisse pour faire chuter le gouvernement, selon plusieurs sondages publiés ces derniers jours.

Jeudi était le premier jour de la fin du quinquennat d’Emmanuel Macron. Vous n’avez aucune légitimité à faire cette réforme.

Mathilde Panot, présidente du groupe La France Insoumise (LFI) à l’Assemblée Nationale

16:52

Le prochain groupe orateur est celui de La France Insoumise (LFI), et c’est Mathilde Panot, la présidente du groupe à l’Assemblée Nationale qui monte à la tribune.


16:46

Aurore Bergé fustige les oppositions : « Au sein de votre groupe, il y a eu malheureusement des trajectoires personnelles, des trajectoires individuelles, en rien motivé par l’intérêt général », dit-elle aux députés LR.

Elle évoque également le groupe du Rassemblement National (RN) : « La vérité elle est claire, il n’y a un chef, une cheffe, et seule, elle, a le droit à la parole », dit-elle. « Les autres doivent d’abord se taire et appuyer sur le bouton ou lever la main quand on leur demande. »


16:38

« La question transpartisane elle se pose au moment du vote. Savoir avec qui ou non, on est prêts à lier son vote. Savoir avec qui on est prêts ou non à voter de part et d’autre de cet hémicycle », déclaré la présidente du groupe Renaissance à l’Assemblée Nationale, Aurore Bergé.

Vous direz aux Français quel est prétendument la majorité alternative ? Vous direz aux Français quel est prétendument le gouvernement alternatif ? Avec Charles de Couson Premier ministre, avec Marine Le Pen à Bercy, avec Mathilde Panot en ministre de l’Intérieur et avec, à n’en pas douter, Aurélien Pradié en ministre des Relations avec le Parlement.

Aurore Bergé, présidente du groupe Renaissance à l’Assemblée Nationale

16:34

Après le Rassemblement National, la parole est au groupe Renaissance, le parti d’Emmanuel Macron, représenté à l’Assemblée Nationale par Aurore Bergé.


16:29

« Chiche Monsieur Macron, allons à la dissolution », déclare Laure Lavalette, qui affirme que si ce scénario avait lieu, « demain nous reviendrons plus nombreux encore pour donner un groupe plus puissant et majoritaire à Marine Le Pen. ».


16:23

« En refusant de retirer votre réforme et en refusant de passer par la voie référendaire, vous entachez tant votre honneur que nos missions de parlementaires », déclare Laure Lavalette (RN) face à Élisabeth Borne.

Je vous en conjure, Mme la Première ministre, prenez un peu de hauteur.

Laure Lavalette, députée RN

16:19

Fin du temps de parole pour Charles de Courson, pour le groupe LIOT. C’est maintenant la député Laure Lavalette, qui s’exprime a la tribune, au nom du groupe Rassemblement National (RN)


16:16

Charles de Courson rappelle que lors de l’élection présidentielle de 2022, « beaucoup d’entre nous ont voté pour lui par défaut », pour éviter l’arrivée de Marine Le Pen au pouvoir.

Les Français ne l’ont pas élu pour repousser à 64 ou 65 ans l’âge légal de départ à la retraite.

Charles de Courson, député LIOT

16:13

« Madame la Première ministre, vous avez échoué à rassembler, vous avez échoué à convaincre », exprime Charles de Courson, qui défend sa motion de censure face à Élisabeth Borne.

Ce vote, vous l’auriez très probablement perdu, mais c’est la règle en démocratie.

Charles de Courson, député LIOT

16:10

Charles de Courson commence à défendre sa motion de censure : « Nous défendons plusieurs valeurs qui sont attaquées par ce texte sur les retraites », explique-t-il notamment.


16:03

Le premier orateur est Charles de Courson, qui prend la parole au nom du groupe Liot, et présente la motion de censure.


16:02 • EN DIRECT

La séance est ouverte !

Yaël Braun-Pivet

15:56

Jeudi, elle montait les marches de l’Assemblée Nationale pour annoncer l’utilisation du 49-3. Ce soir, Élisabeth Borne pourrait ne plus être première ministre de la France, bien que la motion de censure ne soit encore pas sûr d’être adoptée.


15:52

La Première ministre a quitté Matignon pour se rendre à l’Assemblée nationale, à quelques centaines de mètres, afin de prendre la parole pour défendre son gouvernement.


15:43

Le député LR Aurélien Pradié qui a annoncé ce lundi matin qu’il voterait la motion de censure, demande à Emmanuel Macron « d’avoir le courage de retirer son texte » et de « lancer une grande conférence sociale ».


15:07

Le président du groupe Liot qui a déposé une motion de censure transpartisane répond aux critiques d’une partie de Renaissance qui acccuse les oppositions de mettre de l’huile sur le feu dans un contexte social très agité.

« Nous n’aspirons pas au choas, nous déposons une motion de censure pour stopper la réforme », a avancé Bertrand Plancher.


15:00

C’est dans une heure maintenant que la première ministre Élisabeth Borne fera face à deux motions de censure à l’Assemblée Nationale, en réponse au 49-3 qu’elle a utilisé jeudi pour faire adopter le projet de loi de la réforme des retraites sans vote des députés.


13:33 • ALERTE INFO

La première ministre Élisabeth Borne est actuellement reçue par le président de la République Emmanuel Macron à l’Elysée, quelques heures avant d’être confrontée à deux motions de censure.


13:20

À maintenant 2h45 du début de l’examen de la motion de censure à l’Assemblée Nationale, visant à renverser le gouvernement, voici deux estimations de ce que pourrait être le vote final de cette motion.

⚠️ ATTENTION : Peu importe l’estimation, il est important de rappeler que tout peu changer jusqu’au vote final.


12:58

Présente place Vauban à Paris pour soutenir les manifestants opposés à la réforme des retraites, la présidente du groupe La France Insoumise (LFI) à l’Assemblée Nationale, Mathilde Panot, accuse le gouvernement de « passer en force un projet de loi, dont personne ne veut dans le pays ».

Aujourd’hui, le peuple va regarder ce qui se passe dans l’Assemblée.

Mathilde Panot, présidente du groupe La France Insoumise (LFI) à l’Assemblée Nationale

Elle s’exprime également aux députés LR : « Chacun des députés devra réflechir avec sa conscience », dit-elle.

Voter pour cette motion de censure est le seul moyen pour les députés de dire qu’ils sont contre la retraite à 64 ans.

Mathilde Panot, présidente du groupe La France Insoumise (LFI) l’Assemblée Nationale

Deux-tiers des Français veulent qu’une motion de censure soit adoptée, selon plusieurs instituts de sondages publiés ces derniers jours.

Elle estime enfin que « la Vème République est à bout de souffle », qualifiant le président Emmanuel Macron de « roi républicain, un monarque républicain qui peut continuer tout seul contre tout un peuple à imposer un projet ».


12:45 • ALERTE INFO

Le député du groupe Les Républicains (LR) Aurélien Pradié, ancien numéro 2 du parti, a annoncé qu’il votera la motion de censure transpartisane du groupe LIOT.


12:32

Invité de France Inter, Charles de Courson, député LIOT, affirme que « tout repose sur le vote des Républicains hostiles à ce texte ».

Tout est entre les mains de cette trentaine de Républicains.

Charles de Courson, député LIOT / France Inter

Selon le député centriste, voter cette motion de censure est « la seule façon d’arrêter la crise sociale et politique dans ce pays ».

Selon le député centriste, Emmanuel Macron est responsable d’un « déni de démocratie » car « le gouvernement ne voulait pas officiellement recourir au 49.3 et il l’a fait sous l’ordre du président de la République ».


12:28

La permanence d’Éric Ciotti, patron des Républicains et député des Alpes-Maritimes, a été vandalisée dans la nuit de samedi à dimanche.

Des vitres ont été brisées et un tag faisant référence à la réforme des retraites et au vote des motions de censure a été inscrit sur un mur.

« Ce qui est insupportable, c’est de faire pression sur des élus pour qu’ils votent », a fustigé le parlementaire sur BFM Nice Côte d’Azur ce matin.


12:23

La présidente du Rassemblement National (RN) à l’Assemblée Nationale, Marine Le Pen, était ce matin l’invitée de RTL. Elle dénonce « la méthode utilisée par le gouvernement » sur la réforme des retraites, qu’elle juge « inadmissible ». Dans son viseur: le « véhicule législatif » utilisé par le gouvernement : Un projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale qui permet l’emploi du 47.1, limitant à 50 jours les débats au Parlement, mais aussi, le « vote bloqué » au Sénat pour accélerer la discussion du texte, ainsi que « le 49.3 », permettant de faire passer un projet de loi sans vote des députés.

Elle s’adresse également aux députés du groupe Les Républicains, dont leur vote ou non de la motion de censure sera décisif : « Même si vous étiez pour la réforme des retraites, la manière dont la démocratie est traitée aujourd’hui doit vous obliger à voter cette motion de censure ».

Je leur dis vous devez voter la motion de censure parce qu’il en va du respect du peuple français

Marine Le Pen, présidente du Rassemblement National à l’Assemblée Nationale / RTL

Marine Le Pen affirme également qu’en cas de dissolution de l’Assemblée Nationale et dans l’hypothèse où son parti serait majoritaire dans l’hémicycle, elle ne souhaite pas devenir première ministre.


12:08

Le gouvernement va-t-il tomber ? La France va-t-elle plonger dans une crise politique ? Quelle réactions des oppositions et de l’intersyndicale ? Toute la journée en direct, nous suivrons évidemment l’examen de la motion de censure à l’Assemblée Nationale, mais aussi les déclarations de tout bord politique, les dernières réunions, et toutes les réactions qui suivront le résultat final.


12:00

Bonjour à tous et bienvenue dans ce direct sur ar1info.fr. Jeudi, la première ministre Elisabeth Borne a fait usage de l’article 49-3 de la constitution pour faire adopter la réforme des retraites sans vote à l’Assemblée Nationale.